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«Повесть о двух городах» на французском языке

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LIVRE I. – RÉSURRECTION1
CHAPITRE I. – En 17751
CHAPITRE II. – La malle-poste6
CHAPITRE III. – Les ombres de la nuit16
CHAPITRE IV. – Préliminaires25
CHAPITRE V. – La boutique du marchand de vin48
CHAPITRE VI. – Le cordonnier68
LIVRE II. – LE FIL D’OR88
CHAPITRE I. – Cinq ans plus tard88
CHAPITRE II. – Spectacle99
CHAPITRE III. – Débats111
CHAPITRE IV. – Félicitations135
CHAPITRE V. – Le chacal148
CHAPITRE VI. – Par centaines159
CHAPITRE VII. – M. le marquis à la ville183
CHAPITRE VIII. – M. le marquis à la campagne200
CHAPITRE IX. – La tête de Méduse210
CHAPITRE X. – Deux promesses229
CHAPITRE XI. – Une confidence242
CHAPITRE XII. – Un homme plein de délicatesse249
CHAPITRE XIII. – Un homme dépourvu de délicatesse262
CHAPITRE XIV. – Un honnête commerçant271
CHAPITRE XV. – La tricoteuse288
CHAPITRE XVI. – Toujours tricotant307
CHAPITRE XVII. – Un soir328
CHAPITRE XVIII. – Neuf jours337
CHAPITRE XIX. – Une consultation349
CHAPITRE XX. – Un plaidoyer364
CHAPITRE XXI. – Échos371
CHAPITRE XXII. – Le flot monte toujours392
CHAPITRE XXIII. – Les flammes s’élèvent402
CHAPITRE XXIV. – Attiré vers l’abîme414
LIVRE III. – LA TEMPÊTE434
CHAPITRE I. – Au secret434
CHAPITRE II. – La meule à aiguiser455
CHAPITRE III. – L’ombre465
CHAPITRE IV. – Le calme au milieu de la tempête474
CHAPITRE V. – Le scieur de bois484
CHAPITRE VI. – Triomphe497
CHAPITRE VII. – On frappe à la porte509
CHAPITRE VIII. – Partie de cartes518
CHAPITRE IX. – Partie gagnée539
CHAPITRE X. – La substance de l’ombre560
CHAPITRE XI. – Dernier espoir586
CHAPITRE XII. – Ténèbres593
CHAPITRE XIII. – Cinquante-deux têtes608
CHAPITRE XIV. – Mme Defarge630
CHAPITRE XV. – Derniers échos650

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Paris et Londres en 1793: читать книгу на французском

LIVRE I. – RÉSURRECTION.

CHAPITRE I. – En 1775.

C’était le meilleur et le pire de tous les temps, le siècle de la folie et celui de la sagesse ; une époque de foi et d’incrédulité ; une période de lumières et de ténèbres, d’espérance et de désespoir, où l’on avait devant soi l’horizon le plus brillant, la nuit la plus profonde ; où l’on allait droit au ciel et tout droit à l’enfer.
Bref, c’était un siècle si différent du nôtre, que, suivant l’opinion des autorités les plus marquantes, on ne peut en parler qu’au superlatif, soit en bien, soit en mal.
En ce temps-là, un roi pourvu d’une forte mâchoire, et une reine ayant un laid visage, régnaient en Angleterre, pendant qu’un roi pourvu d’une mâchoire non moins forte, et une reine ayant un beau visage, occupaient le trône de France.
Dans l’un et dans l’autre pays, il était plus clair que le cristal, pour tous les grands de l’État, que le miracle de la multiplication des pains se renouvelait tous les jours, et que l’ordre des choses établi ne devait jamais changer.
À cette époque favorisée du ciel, des révélations de l’autre monde étaient, comme aujourd’hui, concédées à la Grande-Bretagne.
Un prophète, simple garde du corps, avait annoncé que le jour où mistress Southcott accomplirait sa vingt-cinquième année, un gouffre, déjà prêt à s’ouvrir, engloutirait Londres et Westminster ; et c’est tout au plus s’il y avait douze ans que l’esprit de Cock-Lane avait frappé ses messages, absolument comme les esprits de l’année dernière (entièrement dépourvus d’originalité) nous ont frappé les leurs.
De simples nouvelles, d’un ordre beaucoup plus terrestre, étaient parvenues depuis peu en Angleterre, relativement à un congrès formé en Amérique par des sujets de la Grande-Bretagne ; nouvelles qui, chose étrange, acquirent plus d’importance pour les humains que toutes les communications transmises par la race des médiums.
La France, moins favorisée en matière de spiritisme, roulait avec quiétude sur une pente d’une douceur infinie. Elle faisait du papier monnaie qu’elle se hâtait de dépenser ; et, sous la conduite de ses pasteurs chrétiens, se divertissait à des actes remplis d’humanité, par exemple, à brûler vif un jeune homme, après lui avoir coupé les mains et arraché la langue, pour ne pas s’être agenouillé, sous la pluie, en l’honneur d’une procession de moines crasseux, qui passait à cinquante mètres de l’endroit où il se trouvait.
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