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«Дети капитана Гранта» на французском языке

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PREMIÈRE PARTIE1
Chapitre I. Balancefish1
Chapitre II. Les trois documents12
Chapitre III. MalcolmCastle25
Chapitre IV. Une proposition de lady Glenarvan35
Chapitre V. Le départ du «Duncan»46
Chapitre VI. Le passager de la cabine numéro six57
Chapitre VII. D’où vient et où va Jacques Paganel70
Chapitre VIII. Un brave homme de plus à bord du «Duncan»79
Chapitre IX. Le détroit de Magellan89
Chapitre X. Le trenteseptième parallèle104
Chapitre XI. Traversée du Chili119
Chapitre XII. À douze mille pieds dans les airs131
Chapitre XIII. Descente de la cordillère144
Chapitre XIV. Le coup de fusil de la providence160
Chapitre XV. L’espagnol de Jacques Paganel172
Chapitre XVI. Le rioColorado184
Chapitre XVII. Les pampas200
Chapitre XVIII. À la recherche d’une aiguade216
Chapitre XIX. Les loups rouges233
Chapitre XX. Les plaines argentines251
Chapitre XXI. Le fort indépendance263
Chapitre XXII. La crue276
Chapitre XXIII. Où l’on mène la vie des oiseaux292
Chapitre XXIV. Où l’on continue de mener la vie des oiseaux305
Chapitre XXXV. Entre le feu et l’eau318
Chapitre XXVI. L’Atlantique331
DEUXIÈME PARTIE344
Chapitre I. Le retour à bord344
Chapitre II. Tristan d’Acunha360
Chapitre III. L’île Amsterdam373
Chapitre IV. Les paris de Jacques Paganel et du major Mac Nabbs386
Chapitre V. Les colères de l’océan Indien403
Chapitre VI. Le cap Bernouilli421
Chapitre VII. Ayrton437
Chapitre VIII. Le départ454
Chapitre IX. La province de Victoria467
Chapitre X. Wimerra river480
Chapitre XI. Burke et Stuart495
Chapitre XII. Le railway de Melbourne à Sandhurst511
Chapitre XIII. Un premier prix de géographie526
Chapitre XIV. Les mines du mont Alexandre543
Chapitre XV. «Australian and New Zealand gazette»561
Chapitre XVI. Où le major soutient que ce sont des singes575
Chapitre XVII. Les éleveurs millionnaires595
Chapitre XVIII. Les alpes australiennes615
Chapitre XIX. Un coup de théâtre633
Chapitre XX. Aland! Zealand!650
Chapitre XXI. Quatre jours d’angoisse666
Chapitre XXII. Eden683
TROISIÈME PARTIE699
Chapitre I. Le macquarie699
Chapitre II. Le passé du pays où l’on va713
Chapitre III. Les massacres de la NouvelleZélande727
Chapitre IV. Les brisants742
Chapitre V. Les matelots improvisés757
Chapitre VI. Où le cannibalisme est traité théoriquement773
Chapitre VII. Où l’on accoste enfin une terre qu’il faudrait éviter785
Chapitre VIII. Le présent du pays où l’on est799
Chapitre IX. Trente milles au nord814
Chapitre X. Le fleuve national828
Chapitre XI. Le lac Taupo847
Chapitre XII. Les funérailles d’un chef maori864
Chapitre XIII. Les dernières heures878
Chapitre XIV. La montagne tabou893
Chapitre XV. Les grands moyens de Paganel914
Chapitre XVI. Entre deux feux929
Chapitre XVII. Pourquoi le «Duncan» croisait sur la côte est de la NouvelleZélande944
Chapitre XVIII. Ayrton ou Ben Joyce957
Chapitre XIX. Une transaction968
Chapitre XX. Un cri dans la nuit982
Chapitre XXI. L’île Tabor997
Chapitre XXII. La dernière distraction de Jacques Paganel1013

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PREMIÈRE PARTIE

Chapitre I. Balancefish

Le 26 juillet 1864, par une forte brise du nordest, un magnifique yacht évoluait à toute vapeur sur les flots du canal du nord. Le pavillon d’Angleterre battait à sa corne d’artimon; à l’extrémité du grand mât, un guidon bleu portait les initiales E G, brodées en or et surmontées d’une couronne ducale. Ce yacht se nommait le Duncan ; il appartenait à lord Glenarvan, l’un des seize pairs écossais qui siègent à la chambre haute, et le membre le plus distingué du «royalthamesyachtclub», si célèbre dans tout le royaumeuni.
Lord Edward Glenarvan se trouvait à bord avec sa jeune femme, lady Helena, et l’un de ses cousins, le major Mac Nabbs.
Le Duncan , nouvellement construit, était venu faire ses essais à quelques milles au dehors du golfe de la Clyde, et cherchait à rentrer à Glasgow; déjà l’île d’Arran se relevait à l’horizon, quand le matelot de vigie signala un énorme poisson qui s’ébattait dans le sillage du yacht.
Le capitaine John Mangles fit aussitôt prévenir lord Edward de cette rencontre. Celuici monta sur la dunette avec le major Mac Nabbs, et demanda au capitaine ce qu’il pensait de cet animal.
«Vraiment, votre honneur, répondit John Mangles, je pense que c’est un requin d’une belle taille.
– Un requin dans ces parages! s’écria Glenarvan.
– Cela n’est pas douteux, reprit le capitaine; ce poisson appartient à une espèce de requins qui se rencontre dans toutes les mers et sous toutes les latitudes. C’est le «balancefish», et je me trompe fort, ou nous avons affaire à l’un de ces coquinslà! Si votre honneur y consent, et pour peu qu’il plaise à lady Glenarvan d’assister à une pêche curieuse, nous saurons bientôt à quoi nous en tenir.
– Qu’en pensezvous, Mac Nabbs? dit lord Glenarvan au major; êtesvous d’avis de tenter l’aventure?
– Je suis de l’avis qu’il vous plaira, répondit tranquillement le major.
– D’ailleurs, reprit John Mangles, on ne saurait trop exterminer ces terribles bêtes. Profitons de l’occasion, et, s’il plaît à votre honneur, ce sera à la fois un émouvant spectacle et une bonne action.
– Faites, John,» dit lord Glenarvan.
Puis il envoya prévenir lady Helena, qui le rejoignit sur la dunette, fort tentée vraiment par cette pêche émouvante.
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