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Письма князя П.А.Вяземского из бумаг П.Я.Чаадаева (Pis'ma knjazja P.A.Vjazemskogo iz bumag P.Ja.Chaadaeva)

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🌏 Idioma original Ruso

Письма князя П.А.Вяземского из бумаг П.Я.Чаадаева: leer el libro original

Бумаги П. Я. Чаадаева хранятся в Московском Публичном и Румянцовском музеях, куда переданы М. И. Жихаревым. Профессор А. И. Кирпичников, при рассмотрении этой коллекции, нашел в ней несколько писем князя Петра Андреевича Вяземского, адресованных к П. Я. Чаадаеву или к другим лицам, находившимся в сношениях с последним. Письма эти обязательно доставлены А. И. Кирпичниковым для помещения на страницах Старины и Новизны.

1. Князь П. А. Вяземский княгине Н. Д. Шаховской

Chère princesse! J'ai vu hier m-r Pinski attaché au ministère de la justice qui m'a dit que votre affaire allait parfaitement bien, que le ministre avait donné un предложение en date du 24 de ce mois, c'est-à-dire du mois passé, qui devait réaliser et même aller au delà de toutes vos espérances. Je suis bien heureux d'avoir quelque chose de bon à vous communiquer. N'avez-vous pas eu conscience de quitter Petersbourg sans me dire gare? Il me reste à désirer que quelque nouveau procès vous ramène à Petersbourg, vous у garde longtemps à condition cependant de le gagner à la fin. Si c'est pour échapper à nos comptes que vous avez voulu vous esquiver, vous n'у parviendrez pas, car voici votre reèu que j'ai l'honneur de vous remettre en règle. Vous saurez sûrement où se trouve pour le moment notre cousine Sverbéeff; ayez la complaisance de lui faire parvenir cette lettre. Dites, je vous prie bien, nos amitiés à Tchadayeff. Je serai véritablement affligé s'il avait pu donner une fausse interprétation aux coups de crayon $ont j'ai sali son intéressant et spirituel manuscrit. J'ai mis quelques idées en opposition aux siennes, et plutôt pour Tourguéneff que pour lui, car je croyais que ce manuscrit appartenait au premier. Mais je n'ai jamais pu concevoir l'abrsiirde prétention de réfuter par quelques mots jettes au hasard et dictés par l'impression du moment des opinions et des croyances mûries sous l'influence du temps et de la réflexion et qui en tout cas, ne fussent-elles pas partagées par moi, auraient toujours eu à mes yeux l'intérêt et le caractère sacré d'une conviction profonde, exprimée avec chaleur et talent. Pardon de vous mêler dans cette controverse, mais je tenais à éclaircir la question et j'aime à vous avoir pour arbitre et médiateur.
Chère princesse! J'ai vu hier m-r Pinski attaché au ministère de la justice qui m'a dit que votre affaire allait parfaitement bien, que le ministre avait donné un предложение en date du 24 de ce mois, c'est-à-dire du mois passé, qui devait réaliser et même aller au delà de toutes vos espérances. Je suis bien heureux d'avoir quelque chose de bon à vous communiquer. N'avez-vous pas eu conscience de quitter Petersbourg sans me dire gare? Il me reste à désirer que quelque nouveau procès vous ramène à Petersbourg, vous у garde longtemps à condition cependant de le gagner à la fin. Si c'est pour échapper à nos comptes que vous avez voulu vous esquiver, vous n'у parviendrez pas, car voici votre reèu que j'ai l'honneur de vous remettre en règle. Vous saurez sûrement où se trouve pour le moment notre cousine Sverbéeff; ayez la complaisance de lui faire parvenir cette lettre. Dites, je vous prie bien, nos amitiés à Tchadayeff. Je serai véritablement affligé s'il avait pu donner une fausse interprétation aux coups de crayon $ont j'ai sali son intéressant et spirituel manuscrit. J'ai mis quelques idées en opposition aux siennes, et plutôt pour Tourguéneff que pour lui, car je croyais que ce manuscrit appartenait au premier. Mais je n'ai jamais pu concevoir l'abrsiirde prétention de réfuter par quelques mots jettes au hasard et dictés par l'impression du moment des opinions et des croyances mûries sous l'influence du temps et de la réflexion et qui en tout cas, ne fussent-elles pas partagées par moi, auraient toujours eu à mes yeux l'intérêt et le caractère sacré d'une conviction profonde, exprimée avec chaleur et talent. Pardon de vous mêler dans cette controverse, mais je tenais à éclaircir la question et j'aime à vous avoir pour arbitre et médiateur.
Joukoffsld et Tourguénef se sont embarqués le 18. M-me Sol-daer est partie pour RevaL
Adieu, chère princesse! N'oubliez pas que vous avez un commissionnaire à Saint-Petetsbourg, toujours désireux et prêt à remplir vos ordres. Mille hommages respectueux et dévoués. Wiasemski.
Supposant cependant que vous pouvez être à la campagne, je ne joins point ici la lettre pour m-me Sverbéeff.

2. Князь П. A. Вяземский П. Я. Чаадаеву

Saint-Pétersbourg. Le 22 décembre 1833.
Voici, mon cher Tchadayeff, un livre que Tourguénef vient de m'envoyer pour vous. Qua.it aux extraits de ses lettres pour ce qui vous concerne, prener un peu patience. Les lettres se trouvent pour le moment chez son neveu Tatarinof que j'ai chargé de cette besogne qui n'est pas facile, comme bien vous penser. Vous connaissez l'écriture et la bigarrure épistolaire de notre ami. On a de la peine à le déchiffrer et de la peine à le suivre ou à l'attrapper, tant il se jette d'un objet à l'autre et s'entortille de citations. Néanmoins la difficulté sera vaincue, et vous aurez les extraits que vous désirez avoir.
J'ai été bien aise de recevoir quelques lignes de vous et me suis empressé de remplir vos ordres en parlant à qui de droit en faveur de m-r Lachtine, mais depuis je l'ai perdu de vue et ne sais trop s'il a trouvé à se placer comme il en avait l'intention. Si le succès n'a pas répondu à son attente et qu'il soit encore ici, écrivez lui de venir me voir. Nous verrons ce qu'il у aura à faire. Et vous, quand nous arriverez-vous? Je ne sais trop que vous dire sur mon compte. La matinée attachée à la glèbe du département, la moitié ou le milieu de la journée, c'est-à-dire les heures du diner, ordinairement en famille et la soirée qui empiète fort avant sur la nuit, consacrée aux corvées des salons, et dans tout cela à peine le temps de feuilleter quelque nouvel ouvrage et de suivre les journaux. Jamais le temps ni la liberté d'esprit nécessaire pour réfléchir à tête reposée et le coeur frais et dispos, voilà mon existence, cher Tchadayeff, si c'en est une:
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